mercredi 7 novembre 2012

Last blog


Le blogue a été une expérience enrichissante puisqu’il m’a permis de réaliser que son utilisation était simple, beaucoup plus simple que je ne le croyais.

Ce n’est pas l’obligation d’écrire chaque semaine qui m’inquiétait, mais plutôt la crainte de faire face à d’autres problèmes tels que ceux rencontrés dans les TICs comme sur Studium notamment.

Je vois que pour plusieurs ce fut une occasion de se remettre en question. Ce qui n’est pas mon cas. C’est peut être parce que je suis plus âgé que la moyenne, mais la remise en question et l’autorégulation sont pour moi deux exercices psychologiques auxquels je m’adonne depuis belle lurette, depuis le cegep…

Cela dit, je n’ai pas vraiment de plainte à formuler en ce qui concerne le blogue. Idem pour le portfolio ou les autres activités. À ce propos, très content d’avoir été mis au courant du réseau Edmodo. J’y ai ouvert un compte, et je pense bien l’utiliser dans un proche avenir.

Par contre, une fois de plus, j’ai eu des problèmes avec Studium et son utilisation. Les TICS sont sensés être des outils nous facilitant notre travail. Quand ils nous la compliquent, je crois qu’il faut les remettre en question. Par exemple, dans la plupart des cours que j’ai eu au Bac, au HEC ou présentement en éducation, le plan de cours que j’ai, soit sous forme électronique, soit version papier, me dit sous un simple coup d’œil, ce que j’ai à présenté la semaine suivante, où nous en sommes (chronologiquement), quand j’aurai à remettre tel ou tel travail, etc. Dans Studium, il faut que j’aille voir à tel endroit, à tel autre endroit, et je ne suis jamais sûr d’avoir tout fait ou tout vu. D’ailleurs, présentement je suis en retard de 7 jours pour la remise d’un travail. Je n’ai aucune idée de quel travail il s’agit et personne ne semble pouvoir m’aider...

Pas besoin d’ajouter que je suis vraiment embêté (et ici j'utilise un euphémisme) !

dimanche 28 octobre 2012


La personne qui vient après moi sur la liste des eportfolio est Carolane Fleurant.

J’aime la présentation qu’elle fait d’elle-même, mais je crois qu’elle devrait élaborer un peu plus sur sa vie professionnelle.

Aussi, actuellement, on ne voit que sa bibliographie sur sa page.

jeudi 11 octobre 2012

Cartes Conceptuelles

Cartes Conceptuelles

Comme son nom l’indique, les cartes servent à présenter un concept. Et un concept étant une construction souvent abstraite, cet outil permet une image plus claire d’une idée trop vague ou comlexe. C’est très utile pour une stratégie d’apprentissage ou d’enseignement. Les cartes peuvent entre autres favoriser la mémorisation.

Par contre, les cartes conceptuelles sont comme les TIC, ils ont leurs utilités, mais on ne peut les appliquer à toutes les sauces. Il y a des matières où elles s’y prêtent bien, d’autres moins bien, voire pas du tout. Par exemple, en science, c’est beaucoup plus facile en biologie qu’en mathématique. En histoire, très pratique pour présenter une évolution dans le temps, mais pas évident de démontrer l’horreur d’un camp de concentration.

Bref, rappelons-nous qu’il y a de bons outils pouvant nous rendre la vie plus simple, mais s’ils nous la compliquent laissons-les de côté!

dimanche 7 octobre 2012

Développer des compétences technologiques


Développer des compétences technologiques

J’ai toujours aimé apprendre. Sinon, je ne serai pas ici. C’est-à-dire revenu aux études. Et développer des connaissances (entendons technologiques) qui me font défaut est bien entendu une chance pour moi. Malheureusement, quand il s’agit de TIC j’éprouve toujours des difficultés d’apprentissage. D’emblée, l’exercice sur Word a été long, car justement je n’y connais pratiquement rien. Cela m’a obligé à explorer diverses fonctions que je ne soupçonnais même pas, et qui sont vraiment pratiques.

La recherche avec ERIC n’a pas été très fructueuse. Cependant, je suis content de connaître cet outil. Pour mon mémoire, il va m’être sans aucun doute utile.

Je ne pourrais plus vivre sans mon ordinateur et sans internet, mais jusqu’à maintenant plusieurs programmes m’ont compliqué la vie plus qu’ils me l’ont rendu simple. Je donne un exemple avec un travail de session. Avant, on le remettait en main propre, soit la version papier. Ensuite, avec l’avènement de l’internet, il a fallu l’envoyer par ce biais, souvent à l’adresse e-mail de l’enseignant. Dans un cas comme dans l’autre, pas vraiment de problème, quoique dans les années 90 il y a eu tout de même une adaptation nécessaire. Mais avec l’arrivée de programmes tel que Studium, là les choses ont commencé à se compliquer légèrement. La première fois ça m’a pris deux jours avant de pouvoir envoyer mon devoir. C’était à l’hiver 2011, pour un travail d’équipe. L’adresse du prof ne suffisait pas. Il fallait d’abord entrer sur Studium. De là, ouvrir la fenêtre adéquate,  ensuite aller cliquer sur un endroit précis, mais vraiment pas facile à trouver, et après avoir ouvert cet endroit il fallait déposer notre travail dans un dossier en particulier. J’ai téléphoné à l’une de mes deux collègues qui m’a dit avoir envoyé un e-mail à la troisième car elle non plus n’arrivait pas à envoyer sa partie. L’autre collègue a enfin répondu pour nous dire qu’elle ne savait pas non plus. Le lendemain soir vers 23h00, la deuxième me contacte et me dit qu’elle avait enfin trouvé comment faire parvenir notre travail au prof. Savez-vous comment elle avait fait ? Eh bien elle l’avait trouvé par pur hasard en cliquant par inadvertance dans un coin droit de la page. Bref, Studium avait été compliqué pour rien.

Cela dit, j’admets être content quand j’arrive à utiliser de nouvelles technologies qui me facilite la vie, qui me rendre plus autonome et qui, je sais, un jour vont me permettre de faciliter celle de mes apprenants. Sur un plan plus personnel, la méthode de recherche apprise, ne m’a peut être pas été des plus fructueuse, mais je suis convaincu qu’elle me servira avant la rédaction de mon mémoire.


dimanche 23 septembre 2012

Réseau !


Le questionnement de la semaine m’anesthésie un tantinet l’inspiration. D’abord, je n’ai aucune idée du genre de logiciel qui pourrait m’aider, ni même de la manière qu’il pourrait le faire. Ensuite, pour ce qui est du réseau, je vois peu d’éléments pouvant le constituer.

Il y a bien sûr des personnes dans mon entourage immédiat qui m’encourage dans la poursuite de mes études, mais rares sont ceux qui peuvent réellement m’aider. Sur le plan professionnel toutefois, je dois remercier Francisco Loiola qui a su m’écouter et m’apporter son soutien. Il y a également un chargé de cours et une bibliothécaire qui de temps à autres, me conseillent sur les opportunités au Centre de l’Asie de l’est (de l’U de M).

En ce qui concerne mes activités sociales, elles sont surtout sportives et elles n’interfèrent pas vraiment avec mon curriculum. Il s’agit surtout d’activités qui se pratiquent seul.

À bien y penser, je viens de réaliser, en écrivant ces quelques lignes, que j’ai intérêt à développer mon réseau. À moi d’essayer de l’étendre en socialisant avec mes collègues et mes enseignants. Et qui sait, le blogue pourrait être utile.



dimanche 16 septembre 2012

Blog ou Billet !?


Un blog (en France), ou blogue (au Québec)1 ou encore cybercarnet2 est un type de site web, ou une partie d'un site Web. Comme son étymologie l'indique (web log signifie journal de bord sur le web en anglais), un blog est censé contenir régulièrement de nouveaux billets, c'est-à-dire des notes ou des articles agglomérés au fil du temps sur un sujet donné. Voilà comment Wikipédia définit le blogue.

Regardons maintenant la définition du billet. Comme le mentionne le journaliste Pierre Sormany dans son livre « Le métier de journaliste », le billet (…) est une petite chronique ou commentaire court (…) de l’actualité, souvent sur un ton humoristique ou sarcastique. » Ne vaudrait-il pas mieux alors rédiger notre petit billet hebdomadaire sans se prendre trop au sérieux, voire avec une légère touche humoristique

Dans un cas comme dans l’autre l’idée de donner son opinion chaque semaine sur un sujet d’une manière plutôt journalistique ne me déplait pas. Cependant, le blog proposé dans le cadre du cours PPA6001, sera constitué de billets dont le contenu révèlera une partie de la vie privée de chacun de mes collègues, et bien sûr une partie de la mienne. Je ne suis pas particulièrement introverti, mais dévoiler mes aspirations professionnelles à des inconnus n’est pas l’un de mes hobbys favoris. Par contre, je n’ai jamais eu de difficulté, ni d’objection à me remettre en question. L‘introspection, l’autorégulation et la métacognition sont des mots qui non seulement font partie de mon vocabulaire, ils sont inscrits dans mon livre de chevet.

Allons-y donc pour un petit exercice d’introspection hebdomadaire, pour un petit exercice de critique hebdomadaire et pour un petit exercice littéraire hebdomadaire.

jeudi 13 septembre 2012

13 septembre


Pour être honnête, j’admet m’avoir inscrit à la maîtrise (à la toute dernière minute) que pour être en mesure d’apposer ma candidature à un poste de chargé de cours qui malheureusement ne m’a pas été accordé. De plus, je dois  avouer que même si par le passé, l’idée de faire une maitrise m’a déjà traversé l’esprit, ce n’est pas en éducation que je voulais poursuivre mes études, mais en anthropologie, plus précisément sur la langue et la culture du Japon.

Par contre, il serait convenable d’apporter ici une précision.  Parmi tous les boulots que j’ai effectués depuis mon entrée sur le marché du travail, le métier d’enseignant que j’ai découvert par hasard est sûrement celui qui me convient le mieux. Et puisque qu’il y a de bonnes chances de revoir une ouverture (comme chargé de cours) dans mon domaine, j’ai décidé qu’une maîtrise serait pour moi un des meilleurs investissements. Non seulement, je pourrais postuler dans une université québécoise, je pourrais le faire dans une université japonaise et je serais également en mesure d’aspirer à un travail dans d’autres établissements d’enseignement supérieur ailleurs en Asie. Jusqu’à présent je n’ai eu que des emplois dans des lycées et dans des écoles de langues.

Pour ce qui est de développer cette ligne du temps, disons simplement que plus vite j’aurais terminé, plus vite je mettrai fin à une situation précaire qui persiste depuis mon retour au pays.